Francis A. Fogue Kuate

Announcements


Appel à contribution pour ouvrage collectif: Mobilisations civiles contre le politique Approche contemporaine des mutations politiques et de l’instabilité en Afrique et au Moyen-Orient

 

Mobilisations civiles contre le politique

Approche contemporaine des mutations politiques et de l’instabilité en Afrique et au Moyen-Orient

Les derniers mouvements sociopolitiques observés en Côte-d’Ivoire ou au Burkina-Faso ainsi que les révoltes qui agitent les pays arabes, provoquant parfois la chute de régimes autoritaires accusés de corruption et de kleptocratie sont l’expression de profondes mutations politiques. Face à l’inefficacité des modes habituels de participation politique (cf. Eyebiyi, 2010), les populations ont apparemment opté pour des modes de protestation se démarquant à la fois des formes souterraines d’expression politique et des moyens clandestins de participation politique (Taguem, 2001). Elles semblent pour ainsi dire privilégier des modes d’action non conventionnels légitimées par une reconnaissance internationale élaborée notamment, via les « réseaux sociaux », et publicisée à visage découvert, généralement à mains nues face aux machines répressives des appareils d’État.

Dès fin 2010 en Tunisie avec l’immolation de Mohammed Bouazizi qui déboucha sur la fuite du président Ben Ali le 14 janvier 2011, une série de mouvements protestataires vont se développer. Même si les explications basées sur le mimétisme, l’effet-domino ou encore la contagion semblent n’avoir qu’une portée explicative limitée, force est de constater la multiplication et l’extension des actions protestataires dans les pays voisins d’Afrique du Nord (Égypte, Algérie, Maroc, etc.) et dans les autres pays arabes (Syrie, Bahreïn, Yémen, Sultanat d’Oman, etc.). Le principal moyen catalyseur de ces dynamiques protestataires a été le rôle majeur des « réseaux sociaux »,  notamment Facebook et Twitter. Face à la constitution de pouvoirs dynastiques, les acteurs des protestations ont recouru à la rhétorique d’une violence non armée, avec la rue comme principal cadre d’expression politique de revendications formulées via lesdits « réseaux sociaux ». Ceci avec des héros aux mains nues tels que Mohammed Bouazizi ou et le rappeur El General en Tunisie, Oussama el-Khlifi au Maroc ou encore le cyberdissident Wael Ghonim en Egypte.

L’acte deux de ces dynamiques protestataires semble débuter avec l’embrasement de la Cyrénaïque par une rébellion armée décidée à renverser le guide libyen Mouammar Kadhafi au pouvoir depuis une quarantaine d’années. Après un relatif effacement des puissances occidentales, une coalition internationale s’est constituée, conduite par la France et les Etats-Unis avec l’aide de l’ONU/OTAN pour opérer des frappes militaires aériennes contre le régime de Tripoli, en faveur du conseil de transition installé à Benghazi et reconnu par la France et l’Italie. De même l’attitude dans la crise postélectorale ivoirienne a laissé entrevoir des atermoiements certains de la « communauté internationale » : à un souci affiché de non ingérence a succédé un soutien militaire de l’ONUCI et de l’opération Licorne en faveur de Alassane Ouattara contre Laurent Gbagbo renversé le 11 avril 2011. Le positionnement et l’attitude controversés de la « communauté internationale » face aux différentes crises sociopolitiques en Afrique reposent avec acuité le problème de la souveraineté politique des États, ainsi que celui de l’ingérence en vue d’une hypothétique « protection des civils ». Autant de faits qui, cumulés aux nouvelles mobilisations sociales ourdies grâce aux médias sociaux, donnent un caractère particulier aux trajectoires politiques contemporaines des États d’Afrique.

Au regard de la recrudescence de ces mobilisations civiles, pacifiques ou armées, contre des pouvoirs postcoloniaux ou quasi séculaires, il convient de questionner la dynamique et le devenir des situations politiques contemporaines en Afrique et au Moyen-Orient où les populations semblent être à la croisée des chemins, au moment où leurs timoniers doivent affronter l’usure du pouvoir. Partagée entre les prétentions hégémoniques des anciennes puissances coloniales, les ambitions monarchistes de nombre de chefs d’États, la multiplication des actions collectives protestataires l’Afrique et le Moyen-Orient semblent à l’aube d’une nouvelle ère où les peuples  « jaillissent » pour refuser ce que J.-F. Bayart (2006) appelle « la politique du ventre ».

Cet ouvrage collectif soutenu par le COREDEC (Cameroun), le CRESA (Bénin) et le CRASC,  (Oran, Algérie), donne l’opportunité aux doctorants  mais aussi aux chercheurs plus avancés, de jeter un regard critique sur l’évolution des États et régimes africains et du Moyen-Orient à la lumière des mobilisations sociopolitiques contemporaines. Le but de l’ouvrage est d’apporter un éclairage composite mais cohérent en ce qui concerne les mobilisations, les résistances, les processus de défiance de l’ordre public en régime policier ou dictatorial ainsi que les manifestations à but contestataires. À cet effet, les contributions pourront entre autre aborder les thématiques suivantes:

  • Les contestations électorales et postélectorales en Afrique
  • L’hégémonie et la « monarchisation » du pouvoir politique en Afrique et le désamorçage des dissidences
  • La révolution tunisienne et son impact sur la dynamique politique en Afrique et ailleurs.
  • Le rôle de la « communauté internationale » dans les crises ivoirienne et libyenne et la gouvernance mondiale des politiques en Afrique et leurs effets sur les dynamiques protestataires
  • Le rôle et la portée des nouveaux médias et autres « réseaux sociaux » (Facebook, Twitter, Viadeo, etc.) dans les mobilisations sociales et politiques actuelles
  • La problématique de l’indépendance des États africains et la question de la « protection des civils », etc.

Cette liste étant non exhaustive, d’autres thématiques rejoignant le thème général de l’ouvrage seront les bienvenues. Les propositions de contribution doivent comprendre :

  • le titre de la contribution
  • le nom et l’affiliation institutionnelle de l’auteur
  • un résumé de 500 mots maximum précisant le matériau empirique et les méthodes mobilisés ainsi que le (s) terrain(s) d’analyse. 

Les propositions sont attendues avant le 10 juin 2011.

Les auteurs des propositions retenues seront informés au plus tard le 15 juin 2011 et devront soumettre leurs textes (8 à 10 pages) avant le 31 juillet 2011.

Les textes doivent respecter la typologie suivante : Police Times New Roman, Taille 12, interligne simple.

Les propositions tout comme les textes complets doivent être envoyés simultanément par e-mail à : Francis Fogue Kuate (farfogue@yahoo.fr), Elieth Eyebiyi (eelieth@yahoo.fr).

Pour toute information s’adresser aux personnes précédemment citées ou écrire à : coredec@gmail.com ou cresabenin@yahoo.fr

Comité d’organisation

  • Francis Fogue Kuate, COREDEC, Univ. of Ngaoundere, Cameroon
  • Elieth Eyebiyi, CRESA, Benin
  • Belkacem Benzenine, CRASC, Oran, Algérie.
  • Saï Sotima Tchantipo, Univ. de Mainz, Allemagne
  • Dr. Sadia Chérif, Univ de Bouaké, Côte d’Ivoire
  • Dr. Séverine Carrausse, Univ. Toulouse Le Mirail, France
  • Prof. Grazia Scarfo’ Ghellab, EHTP Casablanca, Maroc

http://calenda.revues.org/nouvelle19670.html


18/05/2011
0 Poster un commentaire

Codesria:Institut sur l'enfance et la jeunesse 2011

CODESRIA

Institut sur l’enfance et la jeunesse

Thème: La capacité d’agir et le développement des enfants dans les sociétés africaines

Date: 5 – 23 septembre, 2011

Lieu: Dakar, Sénégal

 

Appel à candidatures pour la session 2011

 

Le Conseil pour le développement de la recherche en sciences sociales en Afrique (CODESRIA) a le plaisir d’annoncer la session 2011 de son Institut sur l’enfance et la jeunesse qui se déroulera sur trois (3) semaines, du 5 au 23 septembre 2011. L’Institut est un des volets du Programme d’études sur l’enfance et la jeunesse et a pour objectif de renforcer les capacités analytiques des jeunes chercheurs africains sur les questions relatives à l’enfance et à la jeunesse en Afrique et ailleurs dans le monde. L’institut est conçu comme un forum interdisciplinaire annuel au cours duquel les participants peuvent réfléchir ensemble sur un aspect spécifique des conditions des enfants et des jeunes en Afrique.

 

Objectifs

Les principaux objectifs de l’Institut sur l’enfance et la jeunesse se déclinent ainsi :

1.   encourager le partage d’expériences entre chercheurs, militants de la société civile et décideurs de différentes disciplines, orientations méthodologiques et conceptuelles, et provenant de zones géographiques/linguistiques différentes.

2.         promouvoir et améliorer la culture de valeurs démocratiques qui permet d’identifier et d’aborder efficacement les problèmes auxquels les jeunes et les enfants sont confrontés sur le continent africain, et

3.         encourager la participation des universitaires et des chercheurs dans les discussions et les débats sur les processus de développement des jeunes et des enfants en Afrique.

 

Organisation

Les activités de tous les instituts du CODESRIA sont basées sur des présentations faites par des chercheurs africains, des personnes ressources du continent et de la diaspora et des participants dont les candidatures ont été sélectionnées. Les sessions sont dirigées par un directeur scientifique qui, avec le soutien de personnes ressources, s’assure qu’un large éventail de recherches et de questions politiques sont exposés aux lauréats. Chaque lauréat doit rédiger un article découlant d’un travail de recherche destiné à être présenté au cours de la session. La version révisée de l’article fera l’objet d’une évaluation par les pairs en vue d’une publication par le CODESRIA. Le Centre de documentation et d’information du CODESRIA (CODICE) mettra à la disposition des participants une bibliographie aussi complète que possible se rapportant au thème de l’institut. Les participants auront également la possibilité d’accéder à un certain nombre de centres de documentation situés à Dakar et dans ses environs. L’institut sur l’enfance et la jeunesse du CODESRIA se tiendra en français et en anglais par le biais d’un système de traduction simultanée.

 

Thème de l’édition 2011 de l’Institut sur l’enfance et la jeunesse

Pour l’édition 2011, le CODESRIA a retenu le thème suivant : « La capacité d’agir et le développement des enfants dans les sociétés africaines ». La réflexion sur les enfants s’est traditionnellement beaucoup inspirée des modèles de l’enfance très influencée par  la socialisation et le développement. Les sociologues et les anthropologues, par exemple, ont examiné l'idée selon laquelle les enfants ont besoin de socialisation, d’abord par leurs familles et leurs proches, mais plus tard par l’école et les institutions communautaires, à travers lesquels ils acquièrent les compétences et les connaissances nécessaires à la vie adulte. Cette idée a complété les prémisses fondamentales de la psychologie du développement, la principale discipline qui a étudié l'enfance et l’a perçue comme une série d'étapes par lesquelles les enfants accumulent progressivement les compétences psychologiques et émotionnelles nécessaires pour devenir des adultes équilibrés. Toutefois, ces deux paradigmes ont récemment fait l’objet d’un débat critique soutenu. Les « nouvelles études sociales sur l'enfance » ont notamment mis un accent considérable sur les enfants en tant qu’« êtres » plutôt que des « devenirs », et sur le fait que la vie des enfants doit être étudiée hic et nunc, plutôt qu’en fonction de ce qu'ils peuvent ou ne peuvent pas devenir.

 

En conséquence, la capacité d’agir des enfants en tant que tels, est devenue une préoccupation croissante. La perception traditionnelle de l'enfance en Afrique est celle qui voit les enfants comme des êtres subissant passivement les impératifs du développement psychologique ou les exigences de participation à la société civile ainsi que l'accumulation des normes culturelles et sociales qui régissent la vie sociale. Cette perception est soutenue par la philosophie des sociétés traditionnelles très unies où les capacités inhérentes aux enfants en matière de processus de réflexion et d’initiative sont profondément subsumées dans les exigences et les aspirations des adultes. Cependant, cette situation a fortement évoluée suite aux transformations sociales et économiques dans un monde de plus en plus façonné par la globalisation.

 

En effet, l’histoire contemporaine de l’Afrique offre une illustration de la participation des enfants et des jeunes dans les luttes pour se libérer du joug de la colonisation, de l’apartheid ou de la dictature. La modernisation, découlant de la dynamique sociale interne et des pressions exogènes, a affecté les croyances et pratiques traditionnelles. Ce développement a cependant créé des tensions palpables entre les « traditionalistes » et les « modernistes », les gouvernements et les ONG (souvent à l'avant-garde du changement social), les adultes et les enfants, etc. Ainsi, la Convention des Nations Unies relative aux droits de l'enfant (CDE) concède formellement des droits considérables à l'enfance et met les enfants dans une position leur permettant de s’impliquer dans la détermination des aspects essentiels de leur vie. Par ailleurs, la Charte africaine des droits et du bien-être de l'enfant, en dépit de la position de soumission des  enfants dans la société censée être plus conforme à notre culture africaine, n’en admet pas moins le changement social et ce qui en résulte, à savoir à bien des égards la capacité résultante des enfants à l'auto-détermination.

 

En réalité, les divers droits concédés aux enfants dans la CDE et la Charte africaine sont encore un sujet de dispute. Le Web ubiquitaire à travers le monde entier a élargi la portée mentale et les limites virtuelles des enfants africains. Tous ces facteurs ont accru la capacité de s’affirmer et d’être plus dynamiques dans les foyers et les communautés et ont renforcé leur instinct de survie et d'autoconservation. L'accent est par conséquent sur les compétences, les capacités et la créativité que les enfants possèdent, et comment ils prennent part à la vie dans le monde qui les entoure et comment ils manipulent celui-ci.

 

Cependant, les compétences croissantes des enfants africains sont-elles uniquement attribuables aux efforts faits au niveau local et mondial pour élargir les frontières de la puissance individuelle ? Ne sont-elles pas plutôt voire surtout le résultat involontaire de la pauvreté endémique qui pousse beaucoup d’enfants dans ce rôle de devoir prendre des décisions et faire des choix pour eux-mêmes, même s'ils ne possèdent pas la capacité suffisante pour le faire ? Après tout, la réalité sociale et économique de nombreuses sociétés africaines est que l'extrême pauvreté et la privation amène tout un chacun à être créatif et à développer des capacités nouvelles pour assurer sa propre survie supplémentaire pour la survie.

 

L'Institut sera une occasion d’ouvrir une discussion sur les études théoriques et empiriques sur la capacité d’agir des enfants par rapport à la participation dans le processus éducatif, l'accès au travail et la négociation de celui-ci, l’élaboration de stratégies de survie dans des conditions extrêmes de pauvreté et de privation, ainsi que les dimensions morales et économiques qui motivent la participation des enfants dans les conflits en Afrique.

 

A cet égard, une attention particulière sera accordée aux points de vue des enfants, tandis qu'une approche interdisciplinaire sera adoptée pour promouvoir les contextes théoriques pluriels et l'analyse de thèmes comme la participation des enfants dans les conflits en Afrique, les stratégies de survie et de résistance des enfants, la participation des enfants au travail rémunéré et la négociation de l'environnement de travail, la participation des enfants dans les systèmes éducatifs.

 

Coordination

L’institut sur l’enfance et la jeunesse sera dirigé cette année par Dr. Yaw Ofosu-Kusi de l’Université d’Education de Winneba au Ghana. En tant que Directeur de l’institut, Dr. Yaw Ofosu-Kusi assurera les tâches suivantes :

 

-          Aider à l’identification des personnes ressources chargées de faciliter les discussions et les débats;

-          Participer à la sélection des lauréats;

-          Concevoir le cours de la session, notamment les sous-thèmes spécifiques ;

-          Faire une série de conférences et mener une analyse critique des articles présentés par les personnes ressources ou les lauréats;

-          Soumettre un rapport scientifique écrit sur la session.

 

Le Dr. Yaw Ofosu-Kusi devra également (co)-éditer les versions révisées des articles présentés par les personnes ressources en vue de les soumettre à évaluation pour une publication dans une des collections du CODESRIA. Il devra également assister le CODESRIA dans l’évaluation en vue de la publication des documents présentés par les lauréats lors de l’institut.

 

Les personnes ressources

Les exposés présentés dans le cadre de l’Institut sont destinés à offrir aux lauréats l’occasion d’approfondir leurs réflexions sur le thème de l’institut. Les personnes ressources doivent, par conséquent, être des universitaires ou des chercheurs confirmés qui ont beaucoup publié sur le sujet, et qui ont une contribution importante à apporter aux débats. Elles devront produire des supports écrits qui inciteront les lauréats à engager la discussion et le débat sur leur exposé ainsi que toute la documentation disponible sur le thème.

 

Une fois sélectionnées, les personnes ressources doivent :

 

-           Interagir avec le directeur de l’institut  et les lauréats afin d’aider ces derniers à réajuster leurs questions de recherche et leur approche méthodologique

-          Soumettre un exemplaire de leurs supports de cours pour reproduction et distribution aux participants durant la semaine de la présentation de leurs exposés ;

-          Présenter leur exposé, participer aux débats et commenter les propositions de recherche et les articles des lauréats ;

-          Revoir et soumettre la version révisée de leurs notes de cours ou leurs articles de recherche pour publication par le CODESRIA au plus tard deux mois après leur présentation dans le cadre de l’institut.

 

Les lauréats

Les candidats doivent être des étudiants en mastère ou en thèse ou des universitaires en début de carrière, ayant une capacité prouvée à faire de la recherche sur le thème de l’Institut. Les intellectuels actifs dans le processus politique et/ou les mouvements sociaux et les organisations de la société civile sont également encouragés à se porter candidats. Le nombre de places offertes par le CODESRIA pour chaque session est limité à quinze (15). Les chercheurs non Africains qui peuvent financer leur participation peuvent également faire acte de candidature sous réserve des places disponibles.

 

Les dossiers de candidatures

Les dossiers de candidatures des personnes ressources doivent comprendre :

1.        Une demande de candidature ;

2.        Un curriculum vitae;

3.        Deux (2) textes publiés;

4.        Une proposition de cinq (5) pages au plus, décrivant les questions qui seront couvertes dans leurs trois (3) exposés dont un portant sur les questions de méthodologie.

 

Les dossiers de candidatures des lauréats doivent comprendre;

1.        Une demande de candidature ;

2.        Une lettre attestant de l’affiliation institutionnelle ou organisationnelle;

3.        Un curriculum vitae;

4.       Une proposition de recherche (de dix (10) pages au plus en deux exemplaires), comprenant une analyse descriptive du travail que le candidat veut entreprendre, un résumé exposant l’intérêt théorique du thème choisi par le candidat, ainsi que les relations entre le sujet, la problématique et les centres d’intérêt pris en compte par le thème de l’Institut 2011 ; 

5.        Deux (2) lettres de référence provenant  d’universitaires ou de chercheurs connus pour leur compétence et leur expertise dans le domaine de recherche du candidat (du point de vue géographique et concernant la discipline), avec leurs noms, adresses, numéros de téléphone et/ou de fax et adresse électronique.

 

Date limite de soumission des candidatures

La date limite de soumission des candidatures est fixée au 30 avril 2011.  Les candidats sélectionnés seront informés du résultat de la sélection au plus tard dans la troisième semaine du mois de mai 2011.

 

Précision importante

Tous les candidats sélectionnés devront impérativement procéder à la collecte de données sur le terrain et la rédaction d’articles pour l'Institut pendant la période allant de mai 2011 à fin juillet 2011. Les propositions d’article devront être soumises au CODESRIA au plus tard le 5 août 2011.

 

Date et lieu de l’institut

L'Institut aura lieu du 5 au 23 septembre 2011 à Dakar (Sénégal).

 

Soumission des candidatures

Toutes les candidatures ou demandes de renseignements complémentaires devront être adressées à :

 

Institut sur l’enfance et la jeunesse du CODESRIA

Avenue Cheikh Anta Diop x Canal IV

BP 3304, CP 18524, Dakar, Sénégal.

Tél: (221) 33 825 98 21/22/23

Fax: (221) 33 824 12 89.

Email: child.institute@codesria.sn ou child.institute@codesria.org

Site Web: http://www.codesria.org


09/03/2011
0 Poster un commentaire

Réflexion sur les crises sociopolitiques observées en Afrique du Nord

Le Coredec, en collaboration avec le Crésa-Bénin, organise une réflexion sur les crises sociopolitiques observées ces dernières semaines en Afrique du Nord.

Pour plus d'informations, suivre le lien: http://coredec.blog4ever.com/blog/articles-cat-450170-488277-announcements.html

Cordialement


06/02/2011
0 Poster un commentaire

Réflexion sur les crises sociopolitiques en Afrique du Nord

Le Coredec, en collaboration avec le Crésa-Bénin, organise une réflexion sur les crises sociopolitiques observées ces dernières semaines en Afrique du Nord. La réflexion aura lieu ce dimache 06 février 2011 à partir de 14 heure au siège du Coredec.

Pour plus d'informations, suivre le lien: http://coredec.blog4ever.com/blog/articles-cat-450170-488277-announcements. html


05/02/2011
0 Poster un commentaire

Reflexion débat sur la crise ivoirienne

REFLEXION - DEBAT

 

Thème : La Côte d’Ivoire après Houphouët Boigny : Entre querelles de succession politiques et alanguissement économique

 

La Côte  d’Ivoire vient une fois de plus de faire profil bas aux yeux de la communauté internationale. Après 10 années d’errance politique consécutive au coup d’Etat de Noel 1999, elle n’a pas su saisir l’occasion à elle offerte par l’histoire en vue de redorer son blason autant sur le plan politique que sur le plan économique. De grands espoirs avaient pourtant été placés dans les élections présidentielles qui purent enfin se tenir en novembre 2010 après moult reports révélant l’immaturité politique, pour ne pas dire démocratique, de ce pays pourtant très influent en Afrique  de l’ouest. Mais, au lieu de permettre à la Côte d’Ivoire de réaffirmer sa grandeur légendaire et historique, ces élections ont eu pour seul mérite d’accoucher non pas d’une souris, mais de deux. A l’issue de ces élections (...)

Lire la suite sur le blog du coredec: http://coredec.blog4ever.com/blog/newsletter-voir-102642-450170.html


09/12/2010
0 Poster un commentaire